Lilliput Orkestra / chroniques |
||||||||
Chronique du nouveau CD, "la méduse"JAZZMAN, **** mars 2004 «les belles compositions des deux soufflants, les rythmes de marche , de valse lente, le tempos binaire ou ternaires, les improvisations solistes ou collectives généreuses parfaitement organisées dans l'espace, un plaisir de jouer évident et un véritable esprit free rendent l'écoute de ce disque passionnante et jubilatoire " Jean Buzelin Intramuros, mai 2004 « les influences plus mélangées, plus fines renvoient à cette période du jazz ou esprit libertaire,improvisatins collectives et découverte des musiques du monde faisaient bon ménage et donnaient naissance à des albums magiques («liberation musica orkestra de Charlie Haden, , « brown rice » de Don Cherry ») JP. Birac |
||||||||
MPROJAZZ n°103 (mars 2004) « Que ce soit par exemple avec le vivifiant Réveil, le sommeil à l'envers ou l'éclatant Castrum (hommage à Messiaen), avec Fünf ou C'était janvier, on ne peut d'ores et déjà que souligner l'intelligence des compositions (écrites tantôt par Laurent Rochelle, tantôt par Piero Pepin), de l'enchevêtrement des différentes structures sonores et la sensualité du son. » Marc Sarrazy |
||||||||
Longueur d'onde ( fev 2004) Sous ses allures de quatuor jazz, le groupe digère et transforme tout ce qui passe à sa portée : java, tango, valse, énergie rock, accents fanfare, bruitages, ambiances de film... Liliput navigue à vue, l'improvisation et l'expérimentation pour cap. Bruno Aubin Let'smotiv,fev 2004 ( mensuel Tlse) " leurs mélodies s'avancent puis repartent comme le mouvement de la mer. Elles finissent par vous happer, vous piquer au vif, vous en restez médusés." Sandrine Mercier Foutraque.com, webzine, Toulouse, fev 2004 L'écoute du dernier disque de Lilliput Orchestra (La méduse) ressemble aux extraordinaires voyages de Gulliver. D'iles en îles, de compositions en compositions, la musique du Lilliput est un dépaysement constant, une découverte sonore où nos sens évoluent, voyagent, sans cesser d'être, à chaque escale, étonnés, amusés ou même désorientés. Ce qui prouve qu'on peut être lilliputien par la taille mais géant par le talent. DR Bou |
||||||||
Neosphère, fev 2004 Pour sa deuxième parution le label Linoleum s'engage tambour battant dans une formule jazz tonique et revigorante empruntant à toutes les tendances orchestrales du jazz et d'ailleurs (fanfare, fox-trot, free, rock, musique concrète...). Tantôt les thèmes se bousculent avec frénésie à la faveur de cassures de rythmes savamment négociées (Réveil, le sommeil à l'envers), tantôt on déguste longuement une bonne "ligne de basse" accompagnée par une trompette et une clarinette basse, tantôt encore on est plongé dans le décor d'une musique de film imaginaire (C'était janvier, qui rivalise sans conteste avec l'excellent Colonel Skopje d'Henri texier). Eric Deshayes Indiepoprock.net, juillet 2004 Le quartet loin d'être une fanfare de poche réussit à créer une réelle dimension orchestrale à ses compositions. Le rythme et les ambiances sont variées, des marches, des valses au ralenti qui illustrent parfaitement un plaisir de jouer tout à fait perceptible. Les improvisations collectives ou en solos sont rondement menées et empreintes de liberté consciente. |
||||||||